Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'intérêt de ce volume n'est pas, à mon avis du moins, dans l'étude de la vie et de l'œuvre de Michelet dans ses dernières années peu heureuses,...
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Résumé
L'intérêt de ce volume n'est pas, à mon avis du moins, dans l'étude de la vie et de l'œuvre de Michelet dans ses dernières années peu heureuses, à beaucoup près. Il est dans les nombreux suppléments découverts - plus de 800 ! - qui complètent les tomes déjà publiés. La lettre à Guigniaut de Heidelberg le 20 août 1828, celle de Mme Angelet sur l'Angleterre le 14 août 1834, celle de Quinet du 22 janvier 1869 sont, pour prendre quelques exemples, des pièces capitales, même si d'autres apportent aussi des contributions intéressantes à tel ou tel point de biographie. Ces nouveaux éléments ont, généralement, trouvé facilement leur place dans l'immense puzzle déjà constitué et confirmé avec bonheur plusieurs de mes hypothèses,
Puis-je dire : Exegi monumentum ?